Après avoir jeté un rapide coup d'œil à son décolleté massif, Deux choses deviennent à mes yeux parfaitement claires. Son tour de poitrine est extravagant, voici la première, Tandis que la seconde est que tout producteur laitier l'envie. D'ailleurs, quand je draine une dame comme elle, Je ne tripote pas, ni ne masse ses mamelons, Alors qu'elle est pourtant toute vulnérable sur le dos. Presque comme si elle était une putain toute docile. Ce que je fais, c'est de la mettre à genoux et sur ses mains, Dans le but d'inspecter ces pis et ces pis, ces sacs de seins. Ensuite, j'enroule mes dix doigts tout autour de sa paire de mets, Puis je tire dessus, vers le bas, pour en sortir du saint lait. Honnêtement, je crois bien qu'il est évident pour moi, Que je ne mourrais jamais d'une quelconque soif, Si je reste fidèle envers cette opulente animale, Tout en perfectionnant mes connaissances agricoles.