Nul doute que la vieille madre Centorbi connaissait assez son fils pour savoir qu’il n’avait jamais été quelqu’un de spécialement féru pour quelconque activité sportive.
Or, surprenant la veuve, celui-ci semblait apprécier à présent la marche en plein air, depuis que ce dernier fit le tour de Castelcutò à pied avec cette diablesse Malèna accrochée à son bras.
Voilà donc pourquoi son gamin d’avocat aimait autant se balader maintenant, non pas pour sa forme physique, mais bel et bien afin de pouvoir exhiber triomphalement sa nouvelle propriété amoureuse en public, comme s’il promenait en laisse son animal de compagnie.