Dois-je un instant y croire, à vos vingt-sept années ? Je ne peux l’imaginer, tant vous êtes une beauté. Même vos rides embellissent votre visage, Qu’importe que vous ayez le double de mon âge. Puis quand bien même vous en auriez plus, voir le triple, Sachez juste que je vous vouerai toujours un culte, Et ce, jusqu’à l’attente de ce béni jour prochain, Où au final j’oserai m’enquérir de votre main.