Rapture, ville des eaux, Là, les rêves sont noyés, Ici, les ambitieux font, Mais où la vie est tuée. Sous les flots, elle repose, Cité alors engloutie, Le progrès s’y propose, Mais la folie a tout pris. Avec ses rues inondées, Tous errent en silence, Et les robots détraqués, S’arment dans leur démence. Les ruines disent encore, L’éclat d’une grandeur d’antan, Mais maintenant, tout est mort, Oublions donc la Maman.